mercredi 30 novembre 2011

Saint André - Apôtre et martyr (+ 62)







































De l'Évangile selon Saint-Matthieu
Comme Jésus marchait au bord du lac de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et son frère André, qui jetaient leurs filets dans le lac : c'étaient des pêcheurs.
Jésus leur dit : « Venez derrière moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes. »
Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.
Plus loin, il vit deux autres frères, Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient dans leur barque avec leur père, en train de préparer leurs filets. Il les appela.
Aussitôt, laissant leur barque et leur père, ils le suivirent.
Matthieu 4, 18-22
Textes liturgiques © AELF

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vendredi 25 novembre 2011

Sainte Catherine d'Alexandrie, vierge et martyre

Catherine serait née vers 290 dans une famille noble d'Alexandrie, en Égypte. Dotée d'une grande intelligence, elle acquit rapidement des connaissances qui la placèrent au niveau des plus grands poètes et philosophes du moment.



Une nuit, elle vit en songe le Christ et décida de lui consacrer sa vie, se considérant comme sa fiancée.  L'empereur de Rome, Maximien, venu à Alexandrie, y présidait une grande fête païenne. La jeune fille saisit cette occasion pour tenter de l'amener à se convertir au christianisme, mais cela ne fit que soulever sa colère. 



Pour la mettre à l'épreuve, il lui impose un débat philosophique avec cinquante savants, mais au grand dépit de l'empereur, elle réussit à les convertir. Maximien les fait exécuter et pourtant propose le mariage à Catherine qui refuse avec mépris. 


L'empereur ordonne alors de la faire torturer en usant d'une machine constituée de roues garnies de pointes. Par un miracle divin, les roues se brisent sur son corps, et les pointes aveuglent les bourreaux. Obstiné, Maximien ordonne alors qu'elle soit décapitée.








































1J'aime le Seigneur :
il entend le cri de ma prière ;
2il incline vers moi son oreille :
toute ma vie, je l'invoquerai.

3J'étais pris dans les filets de la mort,
retenu dans les liens de l'abîme, *
j'éprouvais la tristesse et l'angoisse ;
4j'ai invoqué le nom du Seigneur :
" Seigneur, je t'en prie, délivre-moi ! "

5Le Seigneur est justice et pitié,
notre Dieu est tendresse.
6Le Seigneur défend les petits :
j'étais faible, il m'a sauvé.

7Retrouve ton repos, mon âme,
car le Seigneur t'a fait du bien.
8Il a sauvé mon âme de la mort, *
gardé mes yeux des larmes
et mes pieds du faux pas.

9Je marcherai en présence du Seigneur
sur la terre des vivants.
Psaume 114
Textes liturgiques © AELF

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mercredi 23 novembre 2011

St-Clément Premier, pape et martyr







































Saint Clément, disciple de saint Pierre, régna comme pape de 90 à 101 ; saint Paul le mentionne (Phil., 4, 3) comme son compagnon. Sa lettre aux Corinthiens est une vénérable relique de ce Père Apostolique. Le bréviaire raconte ceci à son sujet : Son zèle pour les âmes le fit bannir par l’empereur Trajan en Chersonèse (presqu’île de Crimée), où il trouva 2000 chrétiens que ce même empereur y avait exilés. En arrivant parmi eux, saint Clément se mit à les consoler : “Tous criaient d’une seule voix : Priez pour nous, saint Clément, afin que nous soyons dignes des promesses du Christ. Il leur dit : Ce n’est pas à cause de mes mérites que le Seigneur m’a envoyé à vous pour me faire partager votre couronne” (5e répons). Comme ils se plaignaient d’être forcés d’aller chercher de l’eau potable à six milles de distance, il leur donna ce conseil : “Prions tous le Seigneur Jésus-Christ d’ouvrir une source pour ses confesseurs” (Ant. de Magn. aux 1res vêpres). “Pendant que saint Clément priait, l’Agneau de Dieu lui apparut, sous les pieds duquel coulait une source d’eau vive” (4e répons). A ce miracle, “tous les païens des environs embrassèrent la foi” (Ant.). Lorsque Trajan en eut connaissance, il donna l’ordre de jeter Clément à la mer avec une ancre au cou : “Quand il commença à se diriger vers la mer, le peuple s’écria d’une voix forte : Seigneur Jésus-Christ, sauvez-le. Mais Clément disait en pleurant : Père, recevez mon esprit” (Ant. de Ben.). Les chrétiens allèrent sur le rivage prier Dieu de leur rendre le corps. Alors, la mer s’étant retirée à trois milles, ils trouvèrent le corps du saint dans un sarcophage de pierre, placé à l’intérieur d’une petite chapelle de marbre, et à côté de lui l’ancre. “Vous avez, Seigneur, préparé dans la mer une demeure à votre martyr Clément, à la manière d’un temple de marbre fabriqué par la main des anges” (6e répons). Le corps de ce saint fut apporté plus tard, sous Nicolas 1er (858-67), à Rome par les deux apôtres des Slaves, les saints Cyrille et Méthode, et déposé dans l’église qui lui est dédiée (Saint Clément). Cette église est l’une des plus vénérables de Rome parce qu’elle montre encore parfaitement l’ancienne ordonnance liturgique de la primitive Église.


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dimanche 20 novembre 2011

Jésus Christ Roi de l'Univers

Du livre d'Ézékiel
Parole du Seigneur Dieu : Maintenant, j'irai moi-même à la recherche de mes brebis, et je veillerai sur elles. Comme un berger veille sur les brebis de son troupeau quand elles sont dispersées, ainsi je veillerai sur mes brebis, et j'irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées un jour de brouillard et d'obscurité. C'est moi qui ferai paître mon troupeau, et c'est moi qui le ferai reposer, déclare le Seigneur Dieu. La brebis perdue, je la chercherai ; l'égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la soignerai. Celle qui est faible, je lui rendrai des forces. Celle qui est grasse et vigoureuse, je la garderai, je la ferai paître avec justice. Et toi, mon troupeau, déclare le Seigneur Dieu, apprends que je vais juger entre brebis et brebis, entre les béliers et les boucs.  
Ezékiel 34, 11-12.15-17

















Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d'herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l'honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m'accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j'habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
Psaume 22, 1 à 6
Textes liturgiques © AELF

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Chant: Le Seigneur est mon berger:  http://www.camino-neocatecumenal.org/neo/carismas/cantores/Ressuscit%C3%A9/Ressuscit%C3%A9/154%20Le%20Seigneur%20est%20mon%20berger-cd.mp3

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samedi 12 novembre 2011

Panégyrique de la Sagesse



















Du livre de la Sagesse
Il y a dans la Sagesse un esprit intelligent et saint, unique et multiple, subtil et rapide ; pénétrant, net, clair et intact ; ami du bien, vif, irrésistible, bienfaisant, ami des hommes ; ferme, sûr et paisible, tout-puissant et observant tout, traversant tous les esprits, même les plus intelligents, les plus purs, les plus subtils.
La Sagesse, en effet, peut se mouvoir d'un mouvement qui surpasse tous les autres, elle pénètre et traverse
toute chose à cause de sa pureté.
Car elle est la respiration de la puissance de Dieu, le rayonnement limpide de la gloire du Maître souverain ; aussi rien de souillé ne peut l'atteindre.
Elle est le reflet de la lumière éternelle, le miroir sans tache de l'activité de Dieu, l'image de sa bonté.
Comme elle est unique, elle peut tout ; et sans sortir d'elle-même, elle renouvelle l'univers. De génération en génération, elle se transmet à des âmes saintes, pour en faire des prophètes et des amis de Dieu.
Car Dieu n'aime que celui qui vit avec la Sagesse.
Elle est plus belle que le soleil, elle surpasse toutes les constellations ; si on la compare à la lumière du jour, on la trouve bien supérieure, car le jour s'efface devant la nuit, mais contre la Sagesse le mal ne peut rien.
Elle déploie sa vigueur d'un bout du monde à l'autre, elle gouverne l'univers avec douceur.
Sagesse 7, 22-30; 8, 1
Textes liturgiques © AELF

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mercredi 9 novembre 2011

Vous êtes le temple que Dieu construit




















De la lettre de Saint-Paul aux Corinthiens
Frères,
vous êtes la maison que Dieu construit.
Comme un bon architecte, avec la grâce que Dieu m'a donnée, j'ai posé les fondations. D'autres poursuivent la construction ; mais que chacun prenne garde à la façon dont il construit.
Les fondations, personne ne peut en poser d'autres que celles qui existent déjà : ces fondations, c'est Jésus Christ.

N'oubliez pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous.
Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est sacré, et ce temple, c'est vous.
St-Paul aux Corinthiens: 1 Co 3, 9b-11.16-17
Textes liturgiques © AELF

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lundi 7 novembre 2011

Conduis-moi, Seigneur, sur le chemin d'éternité


















Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais !
Tu sais quand je m'assois, quand je me lève ;
de très loin, tu pénètres mes pensées,
tu me devances et me poursuis.

Que je marche ou me repose, tu le vois,
tous mes chemins te sont familiers.

Avant qu'un mot ne parvienne à mes lèvres,
déjà, Seigneur, tu le sais.


Où donc aller, loin de ton souffle ?
où m'enfuir, loin de ta face ?

Je gravis les cieux : tu es là ;
je descends chez les morts : te voici.


Je prends les ailes de l'aurore
et me pose au-delà des mers :

même là, ta main me conduit,
ta main droite me saisit.

Psaume 138, 1 à 10 
Textes liturgiques © AELF

Chant: Seigneur tu me scrutes:  http://www.camino-neocatecumenal.org/neo/carismas/cantores/Ressuscit%C3%A9/Ressuscit%C3%A9/Seigneur,%20tu%20me%20scrutes-cd.mp3

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La Sagesse est resplendissante







































Du livre de la Sagesse
La Sagesse est resplendissante, elle est inaltérable .Elle se laisse aisément contempler par ceux qui l'aiment, elle se laisse trouver par ceux qui la cherchent.
Elle devance leurs désirs en se montrant à eux la première.
Celui qui la cherche dès l'aurore ne se fatiguera pas : il la trouvera assise à sa porte.
Ne plus penser qu'à elle prouve un parfait jugement, et celui qui veille en son honneur sera bientôt délivré du souci.
Elle va et vient pour rechercher ceux qui sont dignes d'elle ; au détour des sentiers, elle leur apparaît avec un visage souriant ; chaque fois qu'ils pensent à elle, elle vient à leur rencontre. 
Sagesse 6, 12 à 16
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dimanche 6 novembre 2011

J'ai soif!


Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l'aube :
mon âme a soif de toi ;
après toi languit ma chair,
terre aride, altérée, sans eau.


Je t'ai contemplé au sanctuaire,
j'ai vu ta force et ta gloire.

Ton amour vaut mieux que la vie :
tu seras la louange de mes lèvres !


Toute ma vie je vais te bénir,
lever les mains en invoquant ton nom.

Comme par un festin je serai rassasié ;
la joie sur les lèvres, je dirai ta louange.


Dans la nuit, je me souviens de toi
et je reste des heures à te parler.

Oui, tu es venu à mon secours :
je crie de joie à l'ombre de tes ailes.

Psaume 62, 2 à 8
Textes liturgiques © AELF

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La passion du Christ (Mel Gibson)


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mardi 1 novembre 2011

Dans ton grand amour, mon Dieu, fais-moi grâce


Me voici, humilié, meurtri,
que ton salut, Dieu, me redresse ;
et je louerai le nom de Dieu par un cantique,
je vais le magnifier, lui rendre grâce.
 

Les pauvres l'ont vu, ils sont en fête :
« Vie et joie, à vous qui cherchez Dieu ! »

Car le Seigneur écoute les humbles,
il n'oublie pas les siens emprisonnés.


Car Dieu viendra sauver Sion
et rebâtir les villes de Juda.
Il en fera une habitation, un héritage :
demeure pour ceux qui aiment son nom.
Psaume 68, 30 à 37
Textes liturgiques © AELF

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