dimanche 25 décembre 2011

La Bonne Nouvelle



Du livre d'Isaïe
Comme il est beau de voir courir sur les montagnes le messager qui annonce la paix, le messager de la bonne nouvelle, qui annonce le salut, celui qui vient dire à la cité sainte :« Il est roi, ton Dieu ! » Écoutez la voix des guetteurs, leur appel retentit, c'est un seul cri de joie ; ils voient de leurs yeux le Seigneur qui revient à Sion. Éclatez en cris de joie, ruines de Jérusalem, car le Seigneur a consolé son peuple, il rachète Jérusalem ! Le Seigneur a montré la force divine de son bras aux yeux de toutes les nations. Et, d'un bout à l'autre de la terre, elles verront le salut de notre Dieu.
Isaïe 52, 7 à 10
Textes liturgiques © AELF

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jeudi 22 décembre 2011

Le Magnificat







































De l'Évangile selon Saint-Luc
Marie rendit grâce au Seigneur en disant :
« Mon âme exalte le Seigneur,

mon esprit exulte en Dieu mon Sauveur.
Il s'est penché sur son humble servante ;
désormais tous les âges me diront bienheureuse.
Le Puissant fit pour moi des merveilles ;
Saint est son nom !
Son amour s'étend d'âge en âge
sur ceux qui le craignent.
Déployant la force de son bras,
il disperse les superbes.
Il renverse les puissants de leurs trônes,
il élève les humbles.
Il comble de bien les affamés,
renvoie les riches les mains vides.
Il relève Israël son serviteur,
il se souvient de son amour,
de la promesse faite à nos pères,
en faveur d'Abraham et de sa race à jamais. »
Marie demeura avec Élisabeth environ trois mois, puis elle s'en retourna chez elle.
Luc 1,46 à 56
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Anne rend grâce pour la naissance de son fils Samuel







































Du Premier livre de Samuel
Lorsque Samuel eut été sevré, Anne, sa mère, le conduisit à la maison du Seigneur, à Silo ; elle avait pris avec elle un taureau de trois ans, un sac de farine et une outre de vin.
On offrit le taureau en sacrifice, et on présenta l'enfant au prêtre Éli.
Anne lui dit alors : « Écoute-moi, mon seigneur, je t'en prie ! Aussi vrai que tu es vivant, je suis cette femme qui se tenait ici près de toi en priant le Seigneur. C'est pour obtenir cet enfant que je priais, et le Seigneur me l'a donné en réponse à ma demande. À mon tour je le donne au Seigneur. Il demeurera donné au Seigneur tous les jours de sa vie. »
 
Alors ils se prosternèrent devant le Seigneur, et Anne fit cette prière : 
Mon cœur exulte à cause du Seigneur ;
mon front s'est relevé grâce à mon Dieu !
Face à mes ennemis, s'ouvre ma bouche :
oui, je me réjouis de ta victoire !

L'arc des forts sera brisé,
mais le faible se revêt de vigueur.
Les plus comblés s'embauchent pour du pain,
et les affamés se reposent.

Le Seigneur fait mourir et vivre ;
il fait descendre à l'abîme et en ramène.
Le Seigneur rend pauvre et riche ;
il abaisse et il élève.

De la poussière il relève le faible,
il retire le pauvre de la cendre
pour qu'il siège parmi les princes
et reçoive un trône de gloire.
Premier livre de Samuel 1,24 à 2,8
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mercredi 21 décembre 2011

«Pousse des cris de joie, fille de Sion»



















Du livre de Sophonie
Pousse des cris de joie, fille de Sion ! Éclate en ovations, Israël ! Réjouis-toi, tressaille d'allégresse, fille de Jérusalem !
Le Seigneur a écarté tes accusateurs, il a fait rebrousser chemin à ton ennemi. Le roi d'Israël, le Seigneur, est en toi. Tu n'as plus à craindre le malheur.
Ce jour-là, on dira à Jérusalem : « Ne crains pas, Sion !Ne laisse pas tes mains défaillir !   Le Seigneur ton Dieu est en toi, c'est lui, le héros qui apporte le salut. Il aura en toi sa joie et son allégresse, il te renouvellera par son amour ; il dansera pour toi avec des cris de joie, comme aux jours de fête. »
Sophonie 3, 14-18a
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mardi 20 décembre 2011

Prophétie de l'Emmanuel

 


Du livre d'Isaïe
Le Seigneur envoya le prophète Isaïe dire au roi Acaz :
« Demande pour toi un signe venant du Seigneur ton Dieu, demande-le au fond des vallées ou bien en haut sur les sommets. »
Acaz répondit : « Non, je n'en demanderai pas, je ne mettrai pas le Seigneur à l'épreuve. »
Isaïe dit alors : « Écoutez, maison de David ! Il ne vous suffit donc pas de fatiguer les hommes : il faut encore que vous fatiguiez mon Dieu !
Eh bien ! Le Seigneur lui-même vous donnera un signe :  Voici que la jeune femme est enceinte, elle enfantera un fils, et on l'appellera Emmanuel, (c'est-à-dire : Dieu-avec-nous).
De crème et de miel il se nourrira, et il saura rejeter le mal et choisir le bien.
Avant même que cet enfant sache rejeter le mal et choisir le bien, elle sera abandonnée, la terre dont les deux rois te font trembler. »
Isaïe 7, 10-16
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lundi 19 décembre 2011

Le Messie sera fils de Marie




















Évangile de Saint-Luc
L'ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille, une vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie.
L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. »
À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation.
L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. »
Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je suis vierge ? »
L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, et il sera appelé Fils de Dieu. Et voici qu'Élisabeth, ta cousine, a conçu, elle aussi, un fils dans sa vieillesse et elle en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait : 'la femme stérile'. Car rien n'est impossible à Dieu. »
Marie dit alors : «Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole.»
Alors l'ange la quitta.
Luc 1, 26-38
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Chant ''Marie, petite Marie'':  http://www.camino-neocatecumenal.org/neo/CARISMAS/cantores/Ressuscit%C3%A9/Ressuscit%C3%A9/119%20Marie,%20petite%20Marie-cd.mp3  

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samedi 17 décembre 2011

La royauté ne s'éloignera pas de la tribu de Juda





















Du livre de la Genèse
Jacob appela ses fils : « Je veux vous dévoiler ce qui vous arrivera dans les temps à venir. Rassemblez-vous, écoutez, fils d'Israël, écoutez votre père Jacob.
Juda, tes frères te rendront hommage, ta main fera plier la nuque de tes ennemis et les fils de ton père s'inclineront devant toi.
Juda mon fils est un jeune lion ; il est revenu de la chasse ; il s'est accroupi, il s'est couché comme un lion ; ce fauve, qui le fera lever ?
La royauté n'échappera point à Juda, ni le commandement, à sa descendance, jusqu'à ce que vienne celui à qui le pouvoir appartient, à qui les peuples obéiront. »
Genèse 49, 1-2.8-10
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mercredi 14 décembre 2011

Je suis le Seigneur, il n'y en a pas d'autre

 Du livre d'Isaïe
« Je suis le Seigneur, il n'y en a pas d'autre :
Je fais la lumière et je crée les ténèbres, j'établis la paix et je crée le malheur.  C'est moi, le Seigneur, qui fais tout cela.  Que les cieux distillent la rosée, que les nuages répandent la justice, que la terre s'entrouvre et que le salut s'épanouisse, que la justice fasse éclater en même temps tous ses bourgeons.   Moi, le Seigneur, je crée tout cela. »

Ainsi parle le Seigneur, le créateur des cieux, lui qui est Dieu, lui qui a modelé la terre et l'a formée, lui qui l'a fixée ; il ne l'a pas créée comme un désert, il l'a formée pour qu'elle soit habitée :
« Je suis le Seigneur, il n'y en a pas d'autre.

Il n'y a pas d'autre Dieu que moi ; un Dieu juste et sauveur, il n'y en a pas en dehors de moi.   Tournez-vous vers moi pour être sauvés, habitants de la terre entière. Car c'est moi qui suis Dieu, il n'y en a pas d'autre.   Je le jure par moi-même : de ma bouche sortira le salut, cette parole ne reviendra pas en arrière ; devant moi toute créature tombera à genoux, par moi jurera toute langue en disant : ''Au Seigneur seul la justice et la force !''»

Vers lui viendront, couverts de honte, tous ceux qui s'étaient dressés contre lui.
  Et toute la descendance d'Israël trouvera dans le Seigneur sa justice et sa fierté.
Isaïe 45, 6b-8.18.21b-25
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lundi 12 décembre 2011

­­''Un astre se lève, issu de Jacob''

Du livre des Nombres
Le prophète païen Balaam était venu pour maudire Israël.
Levant les yeux, il vit le peuple qui campait, rangé par tribus.
L'esprit de Dieu vint sur lui, et il prononça ces paroles prophétiques :
« Oracle de Balaam, fils de Béor, oracle de l'homme au regard pénétrant, oracle de celui qui entend les paroles de Dieu.
Il voit ce que le Tout-Puissant lui fait voir, il tombe en extase, et ses yeux s'ouvrent.

Que tes tentes sont belles, Jacob, et tes demeures, Israël !
Elles s'étendent comme des vallées, comme des jardins au bord d'un fleuve ; le Seigneur les a plantées comme des aloès, comme des cèdres auprès des eaux !
Un héros sortira de sa descendance, il dominera sur des peuples nombreux.
Son règne sera plus grand que celui de Gog, sa royauté s'étendra. »

Balaam prononça encore ces paroles prophétiques : « Oracle de Balaam, fils de Béor, oracle de l'homme au regard pénétrant. Ce héros, je le vois — mais pas pour maintenant — ; je l'aperçois - mais pas de près : un astre se lève, issu de Jacob, un sceptre se dresse, issu d'Israël. »
Nombres 24,2-7.15.17a

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Chant de Balaam:  http://www.camino-neocatecumenal.org/neo/carismas/cantores/Ressuscit%C3%A9/Ressuscit%C3%A9/45%20Chant%20de%20Balaam-99.mp3

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dimanche 11 décembre 2011

Comment préparer la venue du Seigneur


















De la Première lettre de saint Paul aux Thessaloniciens
Frères, soyez toujours dans la joie, priez sans relâche, rendez grâce en toute circonstance : c'est ce que Dieu attend de vous dans le Christ Jésus. N'éteignez pas l'Esprit, ne repoussez pas les prophètes, mais discernez la valeur de toute chose. Ce qui est bien, gardez-le ; éloignez-vous de tout ce qui porte la trace du mal.

Que le Dieu de la paix lui-même vous sanctifie tout entiers, et qu'il garde parfaits et sans reproche votre esprit, votre âme et votre corps, pour la venue de notre Seigneur Jésus Christ. Il est fidèle, le Dieu qui vous appelle : tout cela, il l'accomplira.
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 5, 16-24
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jeudi 8 décembre 2011

Je suis l'Immaculée Conception




















De l'Évangile selon Saint-Luc
L’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille, une vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie.
L'ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. »
À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation.
L'ange lui dit alors : « Sois sans crainte, Marie, car tu as trouvé grâce auprès de Dieu. Voici que tu vas concevoir et enfanter un fils ; tu lui donneras le nom de Jésus. Il sera grand, il sera appelé Fils du Très-Haut ; le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David son père ; il régnera pour toujours sur la maison de Jacob, et son règne n'aura pas de fin. »

Marie dit à l'ange : « Comment cela va-t-il se faire, puisque je suis vierge ? »
L'ange lui répondit : « L'Esprit Saint viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te prendra sous son ombre ; c'est pourquoi celui qui va naître sera saint, et il sera appelé Fils de Dieu. Et voici qu'Élisabeth, ta cousine, a conçu, elle aussi, un fils dans sa vieillesse et elle en est à son sixième mois, alors qu'on l'appelait : 'la femme stérile'. Car rien n'est impossible à Dieu. »
Marie dit alors : « Voici la servante du Seigneur ; que tout se passe pour moi selon ta parole. »
Alors l'ange la quitta.
Luc 1, 26-38

C’est moi qui t’ai créé, Jacob, qui t’ai formé, Israël. Ne crains pas, car je t’ai racheté, je t’ai appelé par ton nom, tu m’appartiens.
Isaïe 43,1
Textes liturgiques © AELF

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Chant ''Marie, petite Marie'':  http://www.camino-neocatecumenal.org/neo/CARISMAS/cantores/Ressuscit%C3%A9/Ressuscit%C3%A9/119%20Marie,%20petite%20Marie-cd.mp3 

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mardi 6 décembre 2011

Préparez le chemin du Seigneur




















Du livre d'Isaïe
« Consolez, consolez mon peuple, dit votre Dieu. Parlez au cœur de Jérusalem et proclamez que son service est accompli, que son crime est pardonné, et qu'elle a reçu de la main du Seigneur double punition pour toutes ses fautes. »

Une voix proclame : « Préparez à travers le désert le chemin du Seigneur. Tracez dans les terres arides une route aplanie pour notre Dieu. Tout ravin sera comblé, toute montagne et toute colline seront abaissées, les passages tortueux deviendront droits, et les escarpements seront changés en plaine. Alors la gloire du Seigneur se révélera et tous en même temps verront que la bouche du Seigneur a parlé. »

Monte sur une haute montagne, toi qui portes la bonne nouvelle à Sion. Élève la voix avec force, toi qui portes la bonne nouvelle à Jérusalem. Élève la voix, ne crains pas. Dis aux villes de Juda :« Voici votre Dieu. » Voici le Seigneur Dieu : il vient avec puissance et son bras est victorieux. Le fruit de sa victoire l'accompagne et ses trophées le précèdent. Comme un berger, il conduit son troupeau : son bras rassemble les agneaux, il les porte sur son cœur, et il prend soin des brebis qui allaitent leurs petits.
Isaïe 40, 1-5.9-11
Textes liturgiques © AELF

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Le Seigneur guérira son peuple

























Du livre d'Isaïe
Peuple de Sion, toi qui habites Jérusalem, jamais plus tu ne pleureras. Quand tu crieras, le Seigneur se penchera vers toi. Dès qu'il t'aura entendu, il te répondra. Dans l'angoisse, le Seigneur te donnera du pain, et de l'eau dans la détresse. Celui qui t'instruit ne se dérobera plus et tes yeux le verront. Quand tu devras aller ou à droite ou à gauche, tes oreilles entendront celui qui te dira : « Voici le chemin, prends-le ! » Le Seigneur te donnera la pluie pour la semence que tu auras jetée en terre, et le pain que produira la terre sera riche et nourrissant. Ton bétail ira paître, ce jour-là, sur de vastes pâturages. Les boeufs et les ânes qui travaillent dans les champs mangeront un fourrage salé, étalé avec la fourche. Sur toutes les montagnes et sur toutes les hauteurs couleront des ruisseaux. Au jour du grand massacre, quand tomberont les tours de défense, la lune brillera comme le soleil, le soleil brillera sept fois plus, — autant qu'en une semaine entière — le jour où le Seigneur pansera la blessure de son peuple et guérira ses meurtrissures.
Isaïe 30, 19-21. 23-26
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mercredi 30 novembre 2011

Saint André - Apôtre et martyr (+ 62)







































De l'Évangile selon Saint-Matthieu
Comme Jésus marchait au bord du lac de Galilée, il vit deux frères, Simon, appelé Pierre, et son frère André, qui jetaient leurs filets dans le lac : c'étaient des pêcheurs.
Jésus leur dit : « Venez derrière moi, et je vous ferai pêcheurs d'hommes. »
Aussitôt, laissant leurs filets, ils le suivirent.
Plus loin, il vit deux autres frères, Jacques, fils de Zébédée, et son frère Jean, qui étaient dans leur barque avec leur père, en train de préparer leurs filets. Il les appela.
Aussitôt, laissant leur barque et leur père, ils le suivirent.
Matthieu 4, 18-22
Textes liturgiques © AELF

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vendredi 25 novembre 2011

Sainte Catherine d'Alexandrie, vierge et martyre

Catherine serait née vers 290 dans une famille noble d'Alexandrie, en Égypte. Dotée d'une grande intelligence, elle acquit rapidement des connaissances qui la placèrent au niveau des plus grands poètes et philosophes du moment.



Une nuit, elle vit en songe le Christ et décida de lui consacrer sa vie, se considérant comme sa fiancée.  L'empereur de Rome, Maximien, venu à Alexandrie, y présidait une grande fête païenne. La jeune fille saisit cette occasion pour tenter de l'amener à se convertir au christianisme, mais cela ne fit que soulever sa colère. 



Pour la mettre à l'épreuve, il lui impose un débat philosophique avec cinquante savants, mais au grand dépit de l'empereur, elle réussit à les convertir. Maximien les fait exécuter et pourtant propose le mariage à Catherine qui refuse avec mépris. 


L'empereur ordonne alors de la faire torturer en usant d'une machine constituée de roues garnies de pointes. Par un miracle divin, les roues se brisent sur son corps, et les pointes aveuglent les bourreaux. Obstiné, Maximien ordonne alors qu'elle soit décapitée.








































1J'aime le Seigneur :
il entend le cri de ma prière ;
2il incline vers moi son oreille :
toute ma vie, je l'invoquerai.

3J'étais pris dans les filets de la mort,
retenu dans les liens de l'abîme, *
j'éprouvais la tristesse et l'angoisse ;
4j'ai invoqué le nom du Seigneur :
" Seigneur, je t'en prie, délivre-moi ! "

5Le Seigneur est justice et pitié,
notre Dieu est tendresse.
6Le Seigneur défend les petits :
j'étais faible, il m'a sauvé.

7Retrouve ton repos, mon âme,
car le Seigneur t'a fait du bien.
8Il a sauvé mon âme de la mort, *
gardé mes yeux des larmes
et mes pieds du faux pas.

9Je marcherai en présence du Seigneur
sur la terre des vivants.
Psaume 114
Textes liturgiques © AELF

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mercredi 23 novembre 2011

St-Clément Premier, pape et martyr







































Saint Clément, disciple de saint Pierre, régna comme pape de 90 à 101 ; saint Paul le mentionne (Phil., 4, 3) comme son compagnon. Sa lettre aux Corinthiens est une vénérable relique de ce Père Apostolique. Le bréviaire raconte ceci à son sujet : Son zèle pour les âmes le fit bannir par l’empereur Trajan en Chersonèse (presqu’île de Crimée), où il trouva 2000 chrétiens que ce même empereur y avait exilés. En arrivant parmi eux, saint Clément se mit à les consoler : “Tous criaient d’une seule voix : Priez pour nous, saint Clément, afin que nous soyons dignes des promesses du Christ. Il leur dit : Ce n’est pas à cause de mes mérites que le Seigneur m’a envoyé à vous pour me faire partager votre couronne” (5e répons). Comme ils se plaignaient d’être forcés d’aller chercher de l’eau potable à six milles de distance, il leur donna ce conseil : “Prions tous le Seigneur Jésus-Christ d’ouvrir une source pour ses confesseurs” (Ant. de Magn. aux 1res vêpres). “Pendant que saint Clément priait, l’Agneau de Dieu lui apparut, sous les pieds duquel coulait une source d’eau vive” (4e répons). A ce miracle, “tous les païens des environs embrassèrent la foi” (Ant.). Lorsque Trajan en eut connaissance, il donna l’ordre de jeter Clément à la mer avec une ancre au cou : “Quand il commença à se diriger vers la mer, le peuple s’écria d’une voix forte : Seigneur Jésus-Christ, sauvez-le. Mais Clément disait en pleurant : Père, recevez mon esprit” (Ant. de Ben.). Les chrétiens allèrent sur le rivage prier Dieu de leur rendre le corps. Alors, la mer s’étant retirée à trois milles, ils trouvèrent le corps du saint dans un sarcophage de pierre, placé à l’intérieur d’une petite chapelle de marbre, et à côté de lui l’ancre. “Vous avez, Seigneur, préparé dans la mer une demeure à votre martyr Clément, à la manière d’un temple de marbre fabriqué par la main des anges” (6e répons). Le corps de ce saint fut apporté plus tard, sous Nicolas 1er (858-67), à Rome par les deux apôtres des Slaves, les saints Cyrille et Méthode, et déposé dans l’église qui lui est dédiée (Saint Clément). Cette église est l’une des plus vénérables de Rome parce qu’elle montre encore parfaitement l’ancienne ordonnance liturgique de la primitive Église.


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dimanche 20 novembre 2011

Jésus Christ Roi de l'Univers

Du livre d'Ézékiel
Parole du Seigneur Dieu : Maintenant, j'irai moi-même à la recherche de mes brebis, et je veillerai sur elles. Comme un berger veille sur les brebis de son troupeau quand elles sont dispersées, ainsi je veillerai sur mes brebis, et j'irai les délivrer dans tous les endroits où elles ont été dispersées un jour de brouillard et d'obscurité. C'est moi qui ferai paître mon troupeau, et c'est moi qui le ferai reposer, déclare le Seigneur Dieu. La brebis perdue, je la chercherai ; l'égarée, je la ramènerai. Celle qui est blessée, je la soignerai. Celle qui est faible, je lui rendrai des forces. Celle qui est grasse et vigoureuse, je la garderai, je la ferai paître avec justice. Et toi, mon troupeau, déclare le Seigneur Dieu, apprends que je vais juger entre brebis et brebis, entre les béliers et les boucs.  
Ezékiel 34, 11-12.15-17

















Le Seigneur est mon berger :
je ne manque de rien.
Sur des prés d'herbe fraîche,
il me fait reposer.

Il me mène vers les eaux tranquilles
et me fait revivre ;
il me conduit par le juste chemin
pour l'honneur de son nom.

Si je traverse les ravins de la mort,
je ne crains aucun mal,
car tu es avec moi :
ton bâton me guide et me rassure.

Tu prépares la table pour moi
devant mes ennemis ;
tu répands le parfum sur ma tête,
ma coupe est débordante.

Grâce et bonheur m'accompagnent
tous les jours de ma vie ;
j'habiterai la maison du Seigneur
pour la durée de mes jours.
Psaume 22, 1 à 6
Textes liturgiques © AELF

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Chant: Le Seigneur est mon berger:  http://www.camino-neocatecumenal.org/neo/carismas/cantores/Ressuscit%C3%A9/Ressuscit%C3%A9/154%20Le%20Seigneur%20est%20mon%20berger-cd.mp3

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samedi 12 novembre 2011

Panégyrique de la Sagesse



















Du livre de la Sagesse
Il y a dans la Sagesse un esprit intelligent et saint, unique et multiple, subtil et rapide ; pénétrant, net, clair et intact ; ami du bien, vif, irrésistible, bienfaisant, ami des hommes ; ferme, sûr et paisible, tout-puissant et observant tout, traversant tous les esprits, même les plus intelligents, les plus purs, les plus subtils.
La Sagesse, en effet, peut se mouvoir d'un mouvement qui surpasse tous les autres, elle pénètre et traverse
toute chose à cause de sa pureté.
Car elle est la respiration de la puissance de Dieu, le rayonnement limpide de la gloire du Maître souverain ; aussi rien de souillé ne peut l'atteindre.
Elle est le reflet de la lumière éternelle, le miroir sans tache de l'activité de Dieu, l'image de sa bonté.
Comme elle est unique, elle peut tout ; et sans sortir d'elle-même, elle renouvelle l'univers. De génération en génération, elle se transmet à des âmes saintes, pour en faire des prophètes et des amis de Dieu.
Car Dieu n'aime que celui qui vit avec la Sagesse.
Elle est plus belle que le soleil, elle surpasse toutes les constellations ; si on la compare à la lumière du jour, on la trouve bien supérieure, car le jour s'efface devant la nuit, mais contre la Sagesse le mal ne peut rien.
Elle déploie sa vigueur d'un bout du monde à l'autre, elle gouverne l'univers avec douceur.
Sagesse 7, 22-30; 8, 1
Textes liturgiques © AELF

Liturgie des heures:   http://aelf.org/office-messe

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mercredi 9 novembre 2011

Vous êtes le temple que Dieu construit




















De la lettre de Saint-Paul aux Corinthiens
Frères,
vous êtes la maison que Dieu construit.
Comme un bon architecte, avec la grâce que Dieu m'a donnée, j'ai posé les fondations. D'autres poursuivent la construction ; mais que chacun prenne garde à la façon dont il construit.
Les fondations, personne ne peut en poser d'autres que celles qui existent déjà : ces fondations, c'est Jésus Christ.

N'oubliez pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous.
Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est sacré, et ce temple, c'est vous.
St-Paul aux Corinthiens: 1 Co 3, 9b-11.16-17
Textes liturgiques © AELF

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lundi 7 novembre 2011

Conduis-moi, Seigneur, sur le chemin d'éternité


















Tu me scrutes, Seigneur, et tu sais !
Tu sais quand je m'assois, quand je me lève ;
de très loin, tu pénètres mes pensées,
tu me devances et me poursuis.

Que je marche ou me repose, tu le vois,
tous mes chemins te sont familiers.

Avant qu'un mot ne parvienne à mes lèvres,
déjà, Seigneur, tu le sais.


Où donc aller, loin de ton souffle ?
où m'enfuir, loin de ta face ?

Je gravis les cieux : tu es là ;
je descends chez les morts : te voici.


Je prends les ailes de l'aurore
et me pose au-delà des mers :

même là, ta main me conduit,
ta main droite me saisit.

Psaume 138, 1 à 10 
Textes liturgiques © AELF

Chant: Seigneur tu me scrutes:  http://www.camino-neocatecumenal.org/neo/carismas/cantores/Ressuscit%C3%A9/Ressuscit%C3%A9/Seigneur,%20tu%20me%20scrutes-cd.mp3

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La Sagesse est resplendissante







































Du livre de la Sagesse
La Sagesse est resplendissante, elle est inaltérable .Elle se laisse aisément contempler par ceux qui l'aiment, elle se laisse trouver par ceux qui la cherchent.
Elle devance leurs désirs en se montrant à eux la première.
Celui qui la cherche dès l'aurore ne se fatiguera pas : il la trouvera assise à sa porte.
Ne plus penser qu'à elle prouve un parfait jugement, et celui qui veille en son honneur sera bientôt délivré du souci.
Elle va et vient pour rechercher ceux qui sont dignes d'elle ; au détour des sentiers, elle leur apparaît avec un visage souriant ; chaque fois qu'ils pensent à elle, elle vient à leur rencontre. 
Sagesse 6, 12 à 16
Textes liturgiques © AELF

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dimanche 6 novembre 2011

J'ai soif!


Dieu, tu es mon Dieu, je te cherche dès l'aube :
mon âme a soif de toi ;
après toi languit ma chair,
terre aride, altérée, sans eau.


Je t'ai contemplé au sanctuaire,
j'ai vu ta force et ta gloire.

Ton amour vaut mieux que la vie :
tu seras la louange de mes lèvres !


Toute ma vie je vais te bénir,
lever les mains en invoquant ton nom.

Comme par un festin je serai rassasié ;
la joie sur les lèvres, je dirai ta louange.


Dans la nuit, je me souviens de toi
et je reste des heures à te parler.

Oui, tu es venu à mon secours :
je crie de joie à l'ombre de tes ailes.

Psaume 62, 2 à 8
Textes liturgiques © AELF

Liturgies des heures:  http://aelf.org/office-messe

La passion du Christ (Mel Gibson)


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mardi 1 novembre 2011

Dans ton grand amour, mon Dieu, fais-moi grâce


Me voici, humilié, meurtri,
que ton salut, Dieu, me redresse ;
et je louerai le nom de Dieu par un cantique,
je vais le magnifier, lui rendre grâce.
 

Les pauvres l'ont vu, ils sont en fête :
« Vie et joie, à vous qui cherchez Dieu ! »

Car le Seigneur écoute les humbles,
il n'oublie pas les siens emprisonnés.


Car Dieu viendra sauver Sion
et rebâtir les villes de Juda.
Il en fera une habitation, un héritage :
demeure pour ceux qui aiment son nom.
Psaume 68, 30 à 37
Textes liturgiques © AELF

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dimanche 30 octobre 2011

Garde mon âme dans la paix près de toi, Seigneur.




















Seigneur, je n'ai pas le coeur fier
ni le regard ambitieux ;
je ne poursuis ni grands desseins,
ni merveilles qui me dépassent.


Non, mais je tiens mon âme
égale et silencieuse ;
mon âme est en moi comme un enfant,
comme un petit enfant contre sa mère.


Attends le Seigneur, Israël,
maintenant et à jamais.

Psaume 130, 1 à 3
Textes liturgiques © AELF

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mardi 25 octobre 2011

Je peux tout en celui qui me fortifie
















Regarde, réponds-moi, Seigneur mon Dieu !
Donne la lumière à mes yeux,
garde-moi du sommeil de la mort ;
que l'adversaire ne crie pas : « Victoire ! »

Que l'ennemi n'ait pas la joie de ma défaite !
Moi, je prends appui sur ton amour ;
que mon cœur ait la joie de ton salut !
Je chanterai le Seigneur pour le bien qu'il m'a fait.
Psaume 12, 4-6
Textes liturgiques © AELF

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