mercredi 29 février 2012

Prière confiante dans la détresse




























La reine Esther, dans l'angoisse mortelle qui l'étreignait, chercha refuge auprès du Seigneur.
Elle priait ainsi le Seigneur Dieu d'Israël : « Mon Seigneur, notre Roi, c'est toi le seul Dieu ; viens me secourir, car je suis seule, et je n'ai pas d'autre secours que toi,
et je vais risquer ma vie.
Depuis ma naissance, j'ai entendu répéter, dans la tribu de mes pères, que tu as choisi Israël de préférence à toutes les nations, et nos pères de préférence à tous leurs ancêtres, pour en faire à jamais un peuple qui t'appartienne, et tu as fait pour eux tout ce que tu avais promis.
Souviens-toi, Seigneur ! Fais-toi connaître au moment de notre détresse ; donne-moi du courage, toi le roi des dieux, qui domines toute autorité.
Mets sur mes lèvres un langage harmonieux quand je serai en présence de ce lion, et change son cœur : qu'il se mette à détester celui qui nous combat, qu'il le détruise avec tous ses partisans.
Délivre-nous par ta main, viens me secourir car je suis seule, et je n'ai que toi, Seigneur, toi qui connais tout. »
Esther 14,1.3-5.12-14
Textes liturgiques © AELF, Paris



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mardi 28 février 2012

Puissance de la parole de Dieu



























Ainsi parle le Seigneur :
La pluie et la neige qui descendent des cieux n'y retournent pas sans avoir abreuvé la terre, sans l'avoir fécondée et l'avoir fait germer, pour donner la semence au semeur et le pain à celui qui mange ; ainsi ma parole, qui sort de ma bouche, ne me reviendra pas sans résultat, sans avoir fait ce que je veux, sans avoir accompli sa mission.
Isaïe 55, 10-11
Textes liturgiques © AELF, Paris

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vendredi 24 février 2012

Le jeûne qui plait à Dieu



























Parole du Seigneur : « Crie à pleine gorge ! Ne te retiens pas ! Que ta voix résonne comme le cor ! Dénonce à mon peuple ses fautes, à la maison de Jacob ses péchés.
Ils viennent me consulter jour après jour, ils veulent connaître mes chemins. Comme une nation qui pratiquerait la justice et n'abandonnerait pas la loi de son Dieu, ils me demandent de leur faire justice, ils voudraient que Dieu se rapproche.
« Pourquoi jeûner si tu ne le vois pas ? pourquoi nous mortifier si tu l'ignores ? » Oui, mais le jour où vous jeûnez, vous savez bien trouver votre intérêt, et vous traitez durement ceux qui peinent pour vous.
Votre jeûne se passe en disputes et querelles, en coups de poings sauvages. Ce n'est pas en jeûnant comme vous le faites aujourd'hui que vous ferez entendre là-haut votre voix.
Est-ce là le jeûne qui me plaît ? Est-ce là votre jour de pénitence ? Courber la tête comme un roseau, coucher sur le sac et la cendre, appelles-tu cela un jeûne, un jour bien accueilli par le Seigneur ?
Quel est donc le jeûne qui me plaît ? N'est-ce pas faire tomber les chaînes injustes, délier les attaches du joug, rendre la liberté aux opprimés, briser tous les jougs ?
N'est-ce pas partager ton pain avec celui qui a faim, recueillir chez toi le malheureux sans abri, couvrir celui que tu verras sans vêtement, ne pas te dérober à ton semblable ?
Alors ta lumière jaillira comme l'aurore, et tes forces reviendront rapidement. Ta justice marchera devant toi, et la gloire du Seigneur t'accompagnera.
Alors, si tu appelles, le Seigneur répondra ; si tu cries, il dira : « Me voici. »
Isaïe 58, 1-9 
Textes liturgiques © AELF, Paris

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jeudi 23 février 2012

Convertissez-vous, car le Royaume des cieux est proche























Moïse disait au peuple d'Israël : « Je te propose aujourd'hui de choisir ou bien la vie et le bonheur, ou bien la mort et le malheur. Écoute les commandements que je te donne aujourd'hui : aimer le Seigneur ton Dieu, marcher dans ses chemins, garder ses ordres, ses commandements et ses décrets. Alors, tu vivras et te multiplieras ; le Seigneur ton Dieu te bénira dans le pays dont tu vas prendre possession.
Mais si tu détournes ton cœur, si tu n'obéis pas, si tu te laisses entraîner à te prosterner devant d'autres dieux et à les servir, je te le déclare aujourd'hui : certainement vous périrez, vous ne vivrez pas de longs jours sur la terre dont vous allez prendre possession quand vous aurez traversé le Jourdain.
Je prends aujourd'hui à témoin contre toi le ciel et la terre : je te propose de choisir entre la vie et la mort, entre la bénédiction et la malédiction. Choisis donc la vie, pour que vous viviez, toi et ta descendance, en aimant le Seigneur ton Dieu, en écoutant sa voix, en vous attachant à lui ; c'est là que se trouve la vie, une longue vie sur la terre que le Seigneur a juré de donner à tes pères, Abraham, Isaac et Jacob. »
Deutéronome 30, 15-20
Textes liturgiques © AELF, Paris

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mercredi 22 février 2012

Mercredi des Cendres







































Parole du Seigneur : « Revenez à moi de tout votre cœur, dans le jeûne, les larmes et le deuil ! »
Déchirez vos cœurs et non pas vos vêtements, et revenez au Seigneur votre Dieu, car il est tendre et miséricordieux, lent à la colère et plein d'amour, renonçant au châtiment.
Qui sait ? Il pourrait revenir, il pourrait renoncer au châtiment, et vous combler de ses bienfaits : ainsi vous pourrez offrir un sacrifice au Seigneur votre Dieu.
Sonnez de la trompette dans Jérusalem : prescrivez un jeûne sacré, annoncez une solennité, réunissez le peuple, tenez une assemblée sainte, rassemblez les anciens, réunissez petits enfants et nourrissons ! Que le jeune époux sorte de sa maison, que la jeune mariée quitte sa chambre !
Entre le portail et l'autel, les prêtres, ministres du Seigneur, iront pleurer et diront : « Pitié, Seigneur, pour ton peuple, n'expose pas ceux qui t'appartiennent à l'insulte et aux moqueries des païens ! Faudra-t-il qu'on dise : 'Où donc est leur Dieu ?' »
Et le Seigneur s'est ému en faveur de son pays, il a eu pitié de son peuple.
Joël 2, 12-18
Textes liturgiques © AELF, Paris

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Message du Saint-Père pour le Carême en 2012:  http://www.eglise.catholique.fr

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lundi 20 février 2012

Attends le Seigneur, Israël

1Seigneur, je n’ai pas le cœur fier
ni le regard ambitieux ; *
je ne poursuis ni grands desseins,
ni merveilles qui me dépassent.

2Non, mais je tiens mon âme
égale et silencieuse ; *
mon âme est en moi comme un enfant,
comme un petit enfant contre sa mère.

3Attends le Seigneur, Israël, *
maintenant et à jamais.
Psaume 130






























Que votre amour soit sans hypocrisie. 
Fuyez le mal avec horreur, attachez-vous au bien. 
Soyez unis les uns aux autres par l’affection fraternelle, 
rivalisez de respect les uns pour les autres. 
Ne brisez pas l’élan de votre générosité, mais laissez jaillir l’Esprit ; 
soyez les serviteurs du Seigneur. 
Aux jours d’espérance, soyez dans la joie ; 
aux jours d’épreuve, tenez bon ; 
priez avec persévérance.
Romains 12, 9-12  
Textes liturgiques © AELF, Paris


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La vraie et fausse sagesse






























Frères,
y a-t-il parmi vous un homme de sagesse et d'expérience ?
Qu'il prouve par sa vie exemplaire que la douceur de la sagesse inspire ses actes.
Mais si vous avez dans le cœur la jalousie amère et l'esprit de rivalité,
ne soyez pas, contre toute vérité, pleins d'orgueil et de mensonge.
Cette prétendue sagesse ne vient pas de Dieu ; au contraire,
elle est terrestre, purement humaine, diabolique.
Car la jalousie et les rivalités mènent au désordre
et à toutes sortes d'actions malfaisantes.
Au contraire, la sagesse qui vient de Dieu est d'abord droiture,
et par suite elle est paix, tolérance, compréhension ;
elle est pleine de miséricorde et féconde en bienfaits,
sans partialité et sans hypocrisie.
Jacques 3,13-18
Textes liturgiques © AELF, Paris

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dimanche 19 février 2012

Guéris mon âme, Seigneur, car j'ai péché contre toi

Parole du Seigneur :
Ne vous souvenez plus d'autrefois, ne songez plus au passé.
Voici que je fais un monde nouveau : il germe déjà, ne le voyez-vous pas ?
Oui, je vais faire passer une route dans le désert, des fleuves dans les lieux arides.
Ce peuple que j'ai formé pour moi redira ma louange.
Toi, Jacob, tu ne m'avais pas appelé, tu ne t'étais pas fatigué pour moi, Israël !
Par tes péchés tu m'as traité comme un esclave, par tes fautes tu m'as fatigué.
Mais moi, oui, moi, je pardonne tes révoltes, à cause de moi-même,
et je ne veux plus me souvenir de tes péchés.
Isaïe 43, 18-19.21-22.24-25































Heureux qui pense au pauvre et au faible :
le Seigneur le sauve au jour du malheur !
Il le protège et le garde en vie,
Il le soutient sur son lit de souffrance.

J'avais dit : « Pitié pour moi, Seigneur,
guéris-moi, car j'ai péché contre toi ! »
Mes ennemis me condamnent déjà :
« Quand sera-t-il mort ? son nom, effacé ? »

Mais toi, Seigneur, prends pitié de moi,
et je saurai que tu m'aimes.
Dans mon innocence tu m'as soutenu
et rétabli pour toujours devant ta face.
Psaume 40, 2-6.11-13

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Sainte Bernadette Soubirous, vierge























Bénissez ceux qui vous persécutent ; souhaitez-leur du bien, et non pas du mal. Soyez joyeux avec ceux qui sont dans la joie, pleurez avec ceux qui pleurent. Soyez bien d’accord entre vous ; n’ayez pas le goût des grandeurs, mais laissez-vous attirer par ce qui est simple.
Romains 12, 14-16
Textes liturgiques © AELF, Paris

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Sainte Bernadette Soubirous
Vierge
(1844-1879)
      Cette date a été choisie car c'est un 18 février que la Vierge Marie lui dit : « Je ne vous promets pas de vous rendre heureuse en ce monde, mais dans l'autre. » Bernadette avait quatorze ans lorsqu'elle vit pour la première fois la Vierge.
        
       Fille aînée d'une famille de meuniers que l'arrivée des moulins à vapeur jettera dans une extrême pauvreté, Bernadette Soubirous est accueillie en janvier 1858 à l'Hospice de Lourdes dirigé par les Sœurs de la Charité de Nevers, pour y apprendre à lire et à écrire afin de préparer sa première communion.
        
       En février 1858, alors qu'elle ramassait du bois avec deux autres petites filles, la Vierge Marie lui apparaît au creux du rocher de Massabielle, près de Lourdes. Dix-huit apparitions auront ainsi lieu entre février et juillet 1858. Chargée de transmettre le message de la Vierge Marie, et non de le faire croire, Bernadette résistera aux accusations multiples de ses contemporains.

        En juillet 1866, voulant réaliser son désir de vie religieuse, elle entre chez les Sœurs de la Charité de Nevers à Saint-Gildard, Maison-Mère de la Congrégation. Elle y mène une vie humble et cachée. Bien que de plus en plus malade, elle remplit avec amour les tâches qui lui sont confiées.

        Elle meurt le 16 avril 1879 à trente-cinq ans.   
     
        Elle est béatifiée le 14 juin 1925 puis canonisée le 8 décembre 1933. Son corps retrouvé intact, repose depuis 1925, dans une châsse en verre dans la chapelle. Chaque année, venant du monde entier, des milliers de pèlerins et de visiteurs, se rendent à Nevers pour accueillir le message de Bernadette.







































Les apparitions de Lourdes:  http://www.dailymotion.com/video/xbd8re_les-apparitions-de-lourdes_webcam

Sanctuaire Notre-Dame de Lourdes:  http://fr.lourdes-france.org/

Écrivez-moi:  trotand@hotmail.com

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jeudi 16 février 2012

La place des pauvres dans l'Église






























Mes frères, ne mêlez pas des considérations de personnes avec la foi en Jésus Christ, notre Seigneur de gloire.
Imaginons que, dans votre assemblée, arrivent en même temps un homme aux vêtements rutilants, portant des bagues en or, et un homme pauvre aux vêtements sales.
Vous vous tournez vers l'homme qui porte des vêtements rutilants et vous lui dites : « Prends ce siège, et installe-toi bien » ; et vous dites au pauvre : « Toi, reste là debout », ou bien : « Assieds-toi par terre à mes pieds ».
Agir ainsi, n'est-ce pas faire des différences entre vous, et juger selon des valeurs fausses ?
Écoutez donc, mes frères bien-aimés ! Dieu, lui, n'a-t-il pas choisi ceux qui sont pauvres aux yeux du monde ? Il les a faits riches de la foi, il les a faits héritiers du Royaume qu'il a promis à ceux qui l'auront aimé.
Mais vous, vous avez privé le pauvre de sa dignité. Ne voyez-vous pas que ce sont les riches qui vous oppriment, et vous traînent devant les tribunaux ?
Ce sont eux qui blasphèment le beau nom du Seigneur qui a été prononcé sur vous.
Certes, vous avez raison quand vous appliquez la loi du Royaume, celle qui est dans l'Écriture : Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Mais quand vous marquez des différences entre les personnes, vous commettez un péché, et cette Loi vous dénonce comme coupables.
Jacques 2 ,1-9
Textes liturgiques © AELF, Paris

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mercredi 15 février 2012

Je me souviens de Dieu, je me plains






























2Vers Dieu, je crie mon appel !
Je crie vers Dieu : qu’il m’entende !

3Au jour de la détresse, je cherche le Seigneur ; +
la nuit, je tends les mains sans relâche,
mon âme refuse le réconfort.

4Je me souviens de Dieu, je me plains ;
je médite et mon esprit défaille.
5Tu refuses à mes yeux le sommeil ;
je me trouble, incapable de parler.

6Je pense aux jours d’autrefois,
aux années de jadis ;
7la nuit, je me souviens de mon chant,
je médite en mon cœur, et mon esprit s’interroge.

8Le Seigneur ne fera-t-il que rejeter,
ne sera-t-il jamais plus favorable ?
9Son amour a-t-il donc disparu ?
S’est-elle éteinte, d’âge en âge, la parole ?

10Dieu oublierait-il d’avoir pitié,
dans sa colère a-t-il fermé ses entrailles ?
11J’ai dit : « Une chose me fait mal,
la droite du Très-Haut a changé. »

12Je me souviens des exploits du Seigneur,
je rappelle ta merveille de jadis ;
13je me redis tous tes hauts faits,
sur tes exploits je médite.

14Dieu, la sainteté est ton chemin !
Quel Dieu est grand comme Dieu ?

15Tu es le Dieu qui accomplis la merveille,
qui fais connaître chez les peuples ta force :
16tu rachetas ton peuple avec puissance,
les descendants de Jacob et de Joseph.

17Les eaux, en te voyant, Seigneur, +
les eaux, en te voyant, tremblèrent,
l’abîme lui-même a frémi.

18Les nuages déversèrent leurs eaux, +
les nuées donnèrent de la voix,
la foudre frappait de toute part.

19Au roulement de ta voix qui tonnait, +
tes éclairs illuminèrent le monde,
la terre s’agita et frémit.

20Par la mer passait ton chemin, +
tes sentiers, par les eaux profondes ;
et nul n’en connaît la trace.

21Tu as conduit comme un troupeau ton peuple
par la main de Moïse et d’Aaron.
Psaume 76
Textes liturgiques © AELF, Paris

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dimanche 12 février 2012

Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés



























Le Seigneur dit à Moïse et à son frère Aaron :
« Quand un homme aura sur la peau une tumeur, une inflammation ou une tache, qui soit une marque de lèpre, on l'amènera au prêtre Aaron ou à l'un des prêtres ses fils.
Le lépreux atteint de cette plaie portera des vêtements déchirés et les cheveux en désordre, il se couvrira le haut du visage jusqu'aux lèvres, et il criera : 'Impur ! Impur !'
Tant qu'il gardera cette plaie, il sera impur. C'est pourquoi il habitera à l'écart, sa demeure sera hors du camp. »
Lévitique 13, 1-2.45-46


































Un lépreux vient trouver Jésus ; il tombe à ses genoux et le supplie : « Si tu le veux, tu peux me purifier. »
Pris de pitié devant cet homme, Jésus étendit la main, le toucha et lui dit : « Je le veux, sois purifié. »
À l'instant même, sa lèpre le quitta et il fut purifié.
Aussitôt Jésus le renvoya avec cet avertissement sévère :
« Attention, ne dis rien à personne, mais va te montrer au prêtre. Et donne pour ta purification ce que Moïse prescrit dans la Loi : ta guérison sera pour les gens un témoignage. »
Une fois parti, cet homme se mit à proclamer et à répandre la nouvelle, de sorte qu'il n'était plus possible à Jésus d'entrer ouvertement dans une ville. Il était obligé d'éviter les lieux habités, mais de partout on venait à lui.
Marc 1, 40-45 




























 


Je verserai sur vous une eau pure, et vous serez purifiés. 
De toutes vos souillures, de toutes vos idoles, je vous purifierai. 
Je vous donnerai un cœur nouveau, je mettrai en vous un esprit nouveau. 
J’enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. 
Je mettrai en vous mon esprit : 
alors vous suivrez mes lois, vous observerez mes commandements et vous y serez fidèles.
Ézéchiel 36, 25-27
Textes liturgiques © AELF, Paris

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samedi 11 février 2012

Notre-Dame de Lourdes



















Jeudi 11 février 1858. Avec sa sœur Marie (1846-1892), dite Toinette, et Jeanne Abadie, une amie, Bernadette se rend le long du Gave de Pau pour ramasser des os et du bois mort. Du fait de sa santé précaire, elle hésite à traverser le Gave, glacial, comme sa sœur et son amie. « Fais comme nous ! » lancent les deux filles à Bernadette. Elle est alors surprise par un bruit et un courant d'air, lève la tête vers la grotte de Massabielle : « J'aperçus une dame vêtue de blanc : elle portait une robe blanche, un voile blanc également, une ceinture bleue et une rose jaune sur chaque pied ». La dame l'invite à prier. Bernadette récite son chapelet, la dame lui fait signe d'approcher. Elle n'ose pas. La dame disparaît. Elle raconte son aventure aux deux filles, qui insistent pour savoir ce qui s'est passé. Et Toinette, qui avait promis de ne rien dire, raconte tout à sa mère. Les ennuis ne font que commencer pour Bernadette.

Sainte Bernadette Soubirous:  http://fr.lourdes-france.org/approfondir/bernadette-soubirous/temps-des-apparitions

























Garde-moi, mon Dieu :
j'ai fait de toi mon refuge.
2J'ai dit au Seigneur : « Tu es mon Dieu !
Je n'ai pas d'autre bonheur que toi. »

3Toutes les idoles du pays,
ces dieux que j'aimais, +
ne cessent d'étendre leurs ravages, *
et l'on se rue à leur suite.
4Je n'irai pas leur offrir le sang des sacrifices ; *
leur nom ne viendra pas sur mes lèvres !

5Seigneur, mon partage et ma coupe :
de toi dépend mon sort.
6La part qui me revient fait mes délices ;
j'ai même le plus bel héritage !

7Je bénis le Seigneur qui me conseille :
même la nuit mon coeur m'avertit.
8Je garde le Seigneur devant moi sans relâche ;
il est à ma droite : je suis inébranlable.

9Mon coeur exulte, mon âme est en fête,
ma chair elle-même repose en confiance :
10tu ne peux m'abandonner à la mort
ni laisser ton ami voir la corruption.

11Tu m'apprends le chemin de la vie : +
devant ta face, débordement de joie !
A ta droite, éternité de délices !
Psaume 15 
Textes liturgiques © AELF, Paris

Que Dieu notre Père vous donne la grâce et la paix. Nous rendons grâce à Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus Christ, en priant pour vous à tout instant. Nous avons entendu parler de votre foi dans le Christ Jésus et de l’amour que vous avez pour tous les fidèles dans l’espérance de ce qui vous attend au ciel ; vous en avez déjà reçu l’annonce par la parole de vérité, la Bonne Nouvelle qui est parvenue jusqu’à vous, elle qui porte du fruit et progresse dans le monde entier. 
Colossiens 1, 2b-6a 
Textes liturgiques © AELF, Paris


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lundi 6 février 2012

Je me tourne vers toi, Seigneur, au matin tu écoutes ma voix.





















De la deuxième lettre de Saint-Paul aux Thessaloniciens
Si quelqu’un ne veut pas travailler, qu’il ne mange pas non plus ! Or, nous apprenons que certains parmi vous vivent dans l’oisiveté, affairés sans rien faire. À ceux-là, nous adressons dans le Seigneur Jésus Christ cet ordre et cet appel : qu’ils travaillent dans le calme pour manger le pain qu’ils auront gagné. Quant à vous, frères, ne vous lassez pas de faire le bien.
2 Thessaloniciens 3, 10-13
Textes liturgiques © AELF, Paris

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dimanche 5 février 2012

Détresse de l'homme qui souffre


Du livre de Job
Job prit la parole et dit :
« Vraiment, la vie de l'homme sur la terre est une corvée, il fait des journées de manœuvre. Comme l'esclave qui désire un peu d'ombre, comme le manœuvre qui attend sa paye, depuis des mois je n'y ai gagné que du néant, je ne compte que des nuits de souffrance. À peine couché, je me dis :'Quand pourrai-je me lever ?' Le soir n'en finit pas : je suis envahi de cauchemars jusqu'à l'aube. Mes jours sont plus rapides que la navette du tisserand, ils s'achèvent quand il n'y a plus de fil.
Souviens-toi, Seigneur : ma vie n'est qu'un souffle, mes yeux ne verront plus le bonheur. »
Job 7, 1-4.6-7
Textes liturgiques © AELF, Paris

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mercredi 1 février 2012

Présentation du Seigneur au Temple




















Du livre de Malachie
Ainsi parle le Seigneur Dieu : Voici que j'envoie mon Messager pour qu'il prépare le chemin devant moi ; et soudain viendra dans son Temple le Seigneur que vous cherchez. Le messager de l'Alliance que vous désirez, le voici qui vient, dit le Seigneur de l'univers.
Qui pourra soutenir le jour de sa venue ? Qui pourra rester debout lorsqu'il se montrera ? Car il est pareil au feu du fondeur, pareil à la lessive des blanchisseurs.
Il s'installera pour fondre et purifier. Il purifiera les fils de Lévi, il les affinera comme l'or et l'argent : ainsi pourront-ils, aux yeux du Seigneur, présenter l'offrande en toute justice.
Alors, l'offrande de Juda et de Jérusalem sera bien accueillie du Seigneur, comme il en fut aux jours anciens, dans les années d'autrefois. 

Malachie 3, 1-4 
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Éveillez-vous, harpe, cithare : que j’éveille l’aurore !


















Heureux l'homme dont la faute est enlevée,
et le péché remis !
Heureux l'homme dont le Seigneur ne retient pas l'offense,
dont l'esprit est sans fraude !

J'ai dit : « Je rendrai grâce au Seigneur
en confessant mes péchés. »
Et toi, tu as enlevé
l'offense de ma faute.

Ainsi chacun des tiens te priera
aux heures décisives ;
même les eaux qui débordent
ne peuvent l'atteindre.

Tu es un refuge pour moi,
mon abri dans la détresse ;
de chants de délivrance,
tu m'as entouré.
Psaume 31, 1-2, 5-7



2Mon coeur est prêt, mon Dieu, +
je veux chanter, jouer des hymnes :
ô ma gloire !

3Éveillez-vous, harpe, cithare,
que j'éveille l'aurore !

4Je te rendrai grâce parmi les peuples, Seigneur,
et jouerai mes hymnes en tous pays.
5Ton amour est plus grand que les cieux,
ta vérité, plus haute que les nues.

6Dieu, lève-toi sur les cieux :
que ta gloire domine la terre !
7Que tes bien-aimés soient libérés,
sauve-les par ta droite : réponds-nous !


8Dans le sanctuaire, Dieu a parlé : +
« Je triomphe ! Je partage Sichem,
je divise la vallée de Soukkôt.

9« A moi Galaad, à moi Manassé ! +
Éphraïm est le casque de ma tête,
Juda, mon bâton de commandement.

10« Moab est le bassin où je me lave ; +
sur Édom, je pose le talon,
sur la Philistie, je crie victoire ! »

11Qui me conduira dans la Ville-forte,
qui me mènera jusqu'en Édom,
12sinon toi, Dieu qui nous rejettes
et ne sors plus avec nos armées ?

13Porte-nous secours dans l'épreuve :
néant, le salut qui vient des hommes !
14Avec Dieu nous ferons des prouesses,
et lui piétinera nos oppresseurs !
Psaume 107



Sache donc aujourd’hui, et médite cela dans ton cœur : le Seigneur est Dieu, là-haut dans le ciel comme ici-bas sur la terre, et il n’y en a pas d’autre. Tu garderas tous les jours les commandements et les ordres du Seigneur que je te donne aujourd’hui.
Deutéronome 4,39-40
Textes liturgiques © AELF, Paris 

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